• Stop au Gender à l’Ecole. Parents et enseignants ensemble pour
    le respect de l'identité et de l'intimité des enfants.

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Citations

Les citations pro-Gender

De la non-existence de la théorie du genre

 « « La théorie du genre », ça n’existe pas ! C’est comme le monstre du Loch Ness, tout le monde en parle, cela sert de repoussoir, mais personne ne l’a vu ! »  (Najat Vallaud Belkacem, le Point, 20 juin 2013)

« Nous ne savons pas ce que c’est que la théorie du Gender. Je sais qu’on manifeste contre la théorie du Gender, mais alors à la limite je comprends qu’on manifeste contre le mariage pour tous, mais contre la théorie du Gender, il y a quand même des processus mentaux qui relèvent là de la psychiatrie. » (Didier Eribon, professeur, Journée d’études sur le thème « Au-delà du mariage : de l’égalité des droits à la critique des normes », 8 avril 2013)

Pour en finir avec la maternité et la famille biologique

 « Admettre la différence des sexes c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et l’aliénation de la femme » (Judith Butler, philosophe féministe du genre)

« Notre but est d’en finir avec la division sexuelle du travail, dans lequel la femme est mère » (Nancy Chodorow, The reproduction of mothering, Berkeley, 1978 p. 215).

« Nous pensons qu’aucune femme ne devrait avoir à faire le choix de rester au foyer. On ne devrait autoriser aucune femme à rester à la maison pour s’occuper de ses enfants. La société doit être totalement différente. Les femmes ne doivent pas avoir cette option, car si cette option existe, trop de femmes la choisiront ». (Christina Hoff Sommers, « Who Stole feminism ? », Simon & Shuster, New York, 1994)

« Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a pas de sexe… » (Daniel Borillo, Sénat)

« Il faut en finir avec la filiation biologique! » (Erwann Binet, Assemblée Nationale)

« C’est une réforme de société et on peut même dire une réforme de civilisation. » (Christiane Taubira, à propos du projet de loi Taubira, nov 2012, Ouest France)

« Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains ». « Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la société. » (Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, source rapport du SNUipp, page 24-25).

« On ne naît pas femme ni homme d’ailleurs, on le devient… » (Maud Ollivier, députée PS, le 11 mars 2013 à l’Assemblée)

« Dans la culture occidentale moderne, il y a une certaine mythologie de la famille conjugale » et les manifestations contre la Loi Taubira ont révélé « un attachement absolument i-maitrisé, incontrôlé, à cette mythologie » de la famille père-mère-enfant. (Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi Famille – festival « Mode d’emploi » sur le thème « Le sens de la famille » à Lyon en nov 2013)

« Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. […] Il me paraît évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi. » (id.)

« Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante ». (Caroline Mécary, Avocate au barreau de Paris, festival « Mode d’emploi » à Lyon, nov 2013)

« Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle […]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés. La deuxième piste […] : avant que la chape de plomb du conjugalisme nous tombe sur la tête pour deux siècles, on vivait dans les familles aristocratiques de manière à séparer non seulement le parental et le conjugal mais le sentimental et le parental. C’est-à-dire pourquoi ne pas aujourd’hui penser à faire des enfants avec son meilleur ami plutôt qu’avec son amant ? On garderait comme ça peut-être un peu plus les conditions concrètes pour maintenir le désir dans le temps d’une part et puis obtenir une espèce de continuité parce que finalement l’amitié en général dure un peu plus longtemps que le désir. » (Caroline Mécary, avocate au barreau de Paris, spécialiste des « droits » des homosexuels, Festival mode d’emploi à Lyon, novembre 2013)

De la rééducation des enfants à l’école

« Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s’émanciper, car le point de départ de la laïcité c’est le respect absolu de la liberté de conscience. Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix. » (V. Peillon, Interview JDD septembre 2012)

« L’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. » (Extrait du livre « La révolution française n’est pas terminée », Seuil, 2008, de Vincent Peillon)

« Dans nos valeurs, l’Éducation vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux » (Christiane Taubira, ministre de la Justice, 8 février à l’Assemblée)

« Un changement des mentalités, pour un changement de réalité. » (Najat Vallaud-Belkacem, comité interministériel aux droits des femmes)

« Quand on a pour ambition d’oeuvrer à l’égalité réelle (et pas seulement en droit) des femmes et des hommes, on comprend vite que la réponse ne peut pas être seulement la correction ou la compensation des inégalités. Si on veut que ça change pour les générations à venir, il faut compléter ce travail de correction par un travail de prévention des inégalités. Et la meilleure façon de prévenir la formation des inégalités, c’est de lutter dès le plus jeune âge contre les stéréotypes, contre un certain nombre de représentations qui figent les rôles des filles et des garçons, de manière inégalitaire. Ce travail doit se mener dans la société de manière générale, à travers les médias par exemple qui sont un vecteur de représentation sociale très important, mais aussi et surtout a l’école ou les enfants apprennent tant. » ( Najat Vallaud-Belkacem, Publication mensuelle du Café pédagogique du 6 décembre 2013)

« Il ne s’agit pas de nier qu’il y a des hommes et des femmes, mais de poser tranquillement que, au-delà de ce qui est lié strictement à la reproduction (pour ceux et celles qui choisissent de se reproduire), tout est ouvert […] L’éducation est censée ouvrir l’horizon des enfants, permettre aux jeunes d’envisager tous les possibles.» (Marie Duru-Bellat, sociologue, Le Monde, au sujet de l’ABCD de légalité, 30 janvier 2014)

« L’éducation devra faire une place aux questions de genre et d’orientation sexuelle pour changer la perception sociale de l’homosexualité » (François Hollande, réponses à Homosexualité et socialisme, 2012)

« L’Ecole prépare des citoyens libres, émancipés, autonomes, égaux, libres de choisir leur orientation sexuelle » (député PS Eduardo Rihan-Cypel sur BFM TV le 31 janvier 2014)

« Question à Annie Lechénet: Pensez-vous que les efforts actuels pour donner sa place à la lutte contre les inégalités dans le milieu scolaire, comme la campagne ABCD pour l’égalité menée par le Ministère des Droits des femmes, peut faire évoluer la situation ?

Annie Lechénet : La situation ne peut qu’évoluer positivement : on ne peut pas retourner 40 ans en arrière. Bien sûr, il y a des résistances : dans les cours sur les questions de genre, des étudiants s’insurgent contre la notion même d’inégalité entre hommes et femmes, lui préférant l’idée de « différence et complémentarité ». Les collègues qui travaillent sur l’éducation à la sexualité se voient imposer une « éducation relationnelle et affective ». Ce sont des reculs et ils sont inquiétants. Mais le mouvement est lancé, il n’est pas possible de nier les évolutions qui sont en train de se jouer en profondeur dans la société.

Il est tout de même frappant de voir combien le modèle de la « bonne conjugalité» rassure les adultes.  Dans les entretiens avec les chefs d’établissement comme dans les interventions recensées pendant l’enquête, les « petits couples » sont vus comme un remède au sexisme supposé des élèves, en particulier ceux originaires des pays méditerranéens. On pense que ce modèle peut canaliser et pacifier les tensions entre les élèves. Cela nous montre à quel point les intervenants adultes n’ont pas encore assez médité sur l’exubérance de la sexualité ! » (Annie Lechénet, professeur formant les professeurs de demain, université de Lyon, source)

De la suppression de toute différence entre l’homme et la femme

« La lutte contre les stéréotypes de genre et l’homophobie doit être menée avec force, à tous les niveaux d’enseignement. Les stéréotypes de genre doivent être remis en question dès l’école primaire. » – (Vincent Peillon, Refondons l’école, Le Seuil, page 128)

« Depuis des décennies dans la cellule familiale les hommes et les femmes ont chacun leur rôle, ce qui a installé une inégalité. Les mentalités évoluent, certes, mais pas assez vite et les injustices entre les hommes et les femmes persistent. Donc il faut intervenir par la loi » (Najat Vallaud Belkacem – Journal Julie, éditions Milan)

De la promotion de toutes les orientations sexuelles comme équivalentes

« Le gouvernement s’est engagé à s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles » (Lettre de V. Peillon aux Recteurs, 4 janvier 2013)

« S’agissant d’homosexualité, il s’agit d’apprendre à toutes et tous qu’il existe différentes orientations sexuelles sans hiérarchie de valeur » (Najat Vallaud-Belkacem, présentation du programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre, 28 nov. 2012)

« Les enseignants seront mieux formés à l’éducation à la sexualité et à répondre aux questions des enfants sur l’orientation sexuelle. Les questions relatives à l’homosexualité ne seront pas éludées dans cette éducation à la sexualité » (id.)

« Ce qui est en cause, c’est l’hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l’hétérosexualité ne serait pas normale » (V. Margron et E. Fassin, Homme, femme, quelle différence?, p. 25)

« Les « gender studies » nous enseignent aussi que l’hétérosexualité, loin de découler du sexe biologique ou de l’identité sexuée, n’est pas la forme « naturelle » de la sexualité, mais sa forme dominante, au sens où le système social la produit, la légitime, et stigmatise et infériorise socialement celles et ceux qui s’en écartent. » (Dossier SNUipp, p :17)

« L’hétérosexualité n’est pas plus « naturelle » que l’homosexualité, c’est une norme historiquement créée par la société, et à transformer pour accueillir toutes les formes de sexualité. » (Nicole Mosconi, dossier SNUipp, page 22)

« Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains » (Réjane Sénac, chercheure au CNRS, enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, dossier SNUipp, pages 24-25).

« Les études de genre ne décrivent pas la réalité de ce que nous vivons, mais les normes hétérosexuelles qui pèsent sur nous. Nous les avons reçues par les médias, par les films ou par nos parents, nous les perpétuons à travers nos fantasmes et nos choix de vie. Elles nous disent ce qu’il faut faire pour être un homme ou une femme. Nous devons sans cesse négocier avec elles. Certains d’entre nous les adorent et les incarnent avec passion. D’autres les rejettent. Certains les détestent mais s’y conforment. D’autres jouent de l’ambivalence… Je m’intéresse à l’écart entre ces normes et les différentes façons d’y répondre. » (Judith Butler, féministe du genre, Nouvel Obs, 15 décembre 2013)

De la promotion d’une sexualité perverse polymorphe

« La suppression de la famille biologique fera aussi disparaître l’obligation de procéder à la répression sexuelle. L’institution même des « relations sexuelles » où l’homme et la femme exercent un rôle bien déterminé disparaîtra. L’Humanité pourra enfin revenir à sa sexualité perverse polymorphe » (Alison Jagger, Adams&Co, New Jersey, 1977)

« Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste. » (Ruwen Ogien, philosophe, directeur de recherche au CNRS, Journée d’étude sur le thème « Au-delà du mariage : de l’égalité des droits à la critique des normes », 8 avril 2013)

« Aujourd’hui évidemment, quand on dit oui à la pornographie, au travail sexuel, le oui n’est pas un oui ; je pense que ce serait une belle conquête aussi que le oui soit un oui.» (idem)

Pour une nouvelle norme définie par la loi

« Ce qui est juste c’est ce que dit la loi, c’est tout ! Et la loi, elle ne se réfère pas à un ordre naturel, elle se réfère à un rapport de force à un moment donné » (Jean-Pierre Michel, rapporteur du projet de loi Taubira au Sénat)

« La subversion des normes est intrinsèquement liée à la transformation du droit, car c’est par le droit que les normes sont imposées à tous. » (Didier Eribon, professeur, Journée d’étude sur le thème « Au-delà du mariage : de l’égalité des droits à la critique des normes », 8 avril 2013)

Citations des politiques sur la GPA

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Citations sur l’homme et la femme

Sur la différence entre l’homme et la femme

« Si je diffère de toi, je t’augmente » (Saint-Exupéry)

« La femme devient femme sous le regard de l’homme mais il faut affirmer avec tout autant de force que l’homme ne devient vraiment un homme que sous le regard de la femme; la différenciation sexuelle est un phénomène de réciproque humanisation » (A. Jeannière, anthropologue)

« C’est par leurs pouvoirs que les corps sexués diffèrent l’un de l’autre. Non pas que l’un disposerait seul d’un pouvoir manquant à l’autre (selon la logique androcentrique ou phallocentrique), mais parce que le pouvoir qu’ils ont en commun – celui d’engendrer – est partagé entre les deux, et qu’il n’est pas le même. » (Sylviane Agacinski, Femmes entre sexe et genre)

« Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir « on ne naît pas femme, on le devient » ?

Je répondrais à Simone de Beauvoir : « On naît femme et on le devient » parce que toute une dimension de notre être se développe avec le temps » » (Michel Boyancé)

« Oui, l’homme est la femme sont différents ; ne soyons pas indifférents à cette dualité essentielle de notre nature, sachons au contraire l’apprivoiser, l’aimer, comme nous apprenons à respecter et à admirer la nature telle qu’elle est » (François-Xavier Bellamy, Le Monde, 26 août 2011)

 

Pour que les femmes ne deviennent pas des hommes comme les autres

« Femmes, vous nous fascinez pour ce que vous êtes ; notre différence est le difficile trésor qu’il nous appartient d’apprivoiser ensemble. Pour y parvenir, reconnaître et vivre notre égalité est une nécessité concrète ; mais proclamer notre identité serait notre commun échec. Femmes, ne vous laissez pas aliéner, ne devenez pas des hommes comme les autres ! » (François-Xavier Bellamy, Le Monde, 26 août 2011)

« Aujourd’hui, les femmes sont ingrates avec leur puissance propre, parce qu’elle leur a longtemps été confisquée. Mais elle peut l’être encore, et elle le sera d’autant plus que l’on réussira à convaincre les femmes qu’elles sont des hommes comme les autres. Car elles seront à nouveau prêtes à se détacher de leur corps pour en faire un bien disponible, monnayable, étranger à leur vie, à leurs plaisirs. » (Sylviane Agacinski, Femmes entre sexe et genre)

 

Autres citations

« La grandeur de l’être humain tient à ce qu’il peut dépasser le stade biologique en le transformant mais non en l’effaçant. » (Diderot)

« Dès que quelqu’un comprend qu’obéir à des lois injustes est contraire à sa dignité d’homme, aucune tyrannie ne peut le dominer. » (Gandhi)

 « Il y a une activité de l’homme qui est peut-être plus importante que la politique : c’est la recherche de la Vérité » (Raymond Aron).

« Traite toujours autrui comme une fin et jamais seulement comme un moyen » (Kant)

« Une loi juste capable de suivre les moeurs est le contraire d’une loi. » (André Frossard)

« Au moment de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s’il se trouve à votre connaissance un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Demandez-vous si un père de famille, je dis un seul, présent à votre classe et vous écoutant, pourrait, de bonne foi, refuser son assentiment à ce qu’il entendrait dire. Si oui, abstenez-vous de le dire ; sinon, parlez hardiment.» (Jules Ferry, lettre aux instituteurs, 1883)