• Stop au Gender à l’Ecole. Parents et enseignants ensemble pour
    le respect de l'identité et de l'intimité des enfants.

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L’ABCD du genre

Définition du genre

Les objectifs du genre

La société du genre

Les conséquences du genre sur les enfants

Les penseurs et lobbies du genre

 

 

Définition du genre (ou idéologie du genre)

Le genre est un concept qui promeut l’indifférenciation sexuelle, au sens large, c’est-à-dire incluant la sexualité. Il est basé sur un postulat:

Postulat:

Notre corps n’a aucune signification ;
il n’a aucune influence sur nos comportements, nos centres d’intérêt, nos aptitudes, nos rôles dans la société.

L’homme et la femme sont une construction culturelle et sociale
indépendante de la réalité de leur corps.

Par conséquent,

je ne suis pas homme ou femme.
Je me définis par l’orientation sexuelle que je choisis : homosexuel, bisexuel, hétérosexuel, transsexuel….

Je suis ce que je veux.

Pour certains, l’identité sexuelle masculine et féminine, appelée opportunément par anglicisme genre, serait uniquement le résultat d’une construction sociale : par la culture (éducation, arts, medias, coutumes…), la société aurait assigné à l’homme et à la femme des choix de métiers, des rôles, des aspirations, des comportements, y compris sexuels. Le corps sexué ne dirait rien de notre personne, de notre identité. Il ne serait qu’un simple objet biologique, source de plaisir.

Ces théoriciens du genre postulent que la différence des sexes a été construite par des mâles blancs hétérosexuels et qu’elle l’est donc selon un ordre hiérarchique au détriment des femmes et des minorités sexuelles. Et puisque cette différence des sexes, qui sert la domination des femmes et des homosexuels, transsexuels…, est construite, elle peut donc selon eux être déconstruite. Le genre devient un instrument de lutte pour arriver à l’indifférenciation des sexes et des sexualités.

Le genre est une construction intellectuelle sans ancrage dans la réalité de chaque être humain, qui est à la fois nature et culture (inné et acquis). La différence des sexes est la matrice des identités psychologiques et culturelles. La culture, c’est-à-dire tout ce que l’Homme reçoit en plus de sa nature (éducation, histoire, traditions,…), ne contredit pas la nature mais vient plutôt la compléter. Elle permet à chacun de devenir ce qu’il est : homme ou femme conformément à son corps.

Le Gender se base uniquement sur la culture, en affirmant que l’être humain se définit seulement par ses choix, au gré de ses désirs, indépendamment de sa réalité biologique. Les différentes orientations sexuelles deviennent le fondement du droit et de « l’égalité ».

Exemples :

Pour l’opinion commune

Pour le Gender

La femme qui a porté un enfant a noué avec lui un lien unique, qui influe sur sa psychologie et sur son comportement avec l’enfant. Aucune influence de ce lien. Les filles ont été influencées dans un rôle maternel par les jeux de poupées. Ce n’est pas en accouchant qu’on devient mère. C’est par la volonté qu’on est parent. Un père ou une mère c’est strictement identique pour un enfant.
Les hommes aiment prendre des risques et ont l’esprit de compétition. C’est parce qu’on a laissé les garçons se bagarrer petits et qu’on les a incités à jouer à  des jeux d’armes.
La femme cherche à révéler sa beauté (elle aime la mode, cœur de cible des enseignes de cosmétiques). C’est parce que les petites filles ont été influencées dans ce rôle par les robes de princesse, les jeux de maquillage et les contes de Perrault (la Belle au Bois dormant, Cendrillon…)

Le Gender part d’un postulat, jamais démontré scientifiquement : les différences entre l’homme et la femme sont une pure construction culturelle et sociale indépendante du donné biologique.

Pour établir son postulat, le Gender part d’une exception : certaines personnes ont un ressenti psychique différent de leur sexe biologique (une personne de sexe masculin qui se sent « femme » par exemple). Il n’explique pas pourquoi l’immense majorité des personnes assument leur sexe.

Le Gender est donc une IDEOLOGIE, c’est-à-dire une doctrine qui nie les réalités qui s’y opposent.

Il existe par ailleurs des preuves que le Gender n’a aucun fondement scientifique :

Une étude américaine publiée à l’automne 2013 par l’Académie Nationale des sciences vient de prouver que les cerveaux masculins et féminins sont connectés différemment, ce qui explique les différences d’aptitude entre les hommes et les femmes (voir résumé de l’étude).

En Norvège, à l’issue d’un documentaire réalisé en 2010, l’Etat a supprimé toute subvention aux études sur la « théorie » du genre (6 millions d’euros par an). Le centre de recherche sur le genre a dû fermer.

Expérience de la Norvège : La Norvège était en 2008 classé numéro un dans le classement mondial des pays les plus égalitaires en matière d’égalité homme-femme. Pourtant, depuis les années 80, 90% des ingénieurs sont des hommes et plus de 90% des infirmières sont des femmes.

Un journaliste norvégien a mené une enquête pour expliquer cette contradiction. Il a interrogé des chercheurs sur le genre en Norvège et des scientifiques américains et anglais qui ont mené des études scientifiques sur les différences entre les garçons et les filles (Regardez  la vidéo).

Ces études montrent que ces différences, notamment les différences de centres d’intérêt, ne peuvent être indépendantes du biologique. Elles résultent donc à la fois du biologique (inné) et de la culture (acquis).

Dans un pays comme la Norvège où les jeunes sont totalement libres de choisir leur métier (pas de contrainte économique), ils choisissent celui qui correspond le mieux à leurs centres d’intérêt, à leurs aspirations profondes.

Résultats des études scientifiques

1-      Les différences de centres d’intérêt professionnels entre  les hommes et les femmes traversent les cultures

Source : Etude de R.Lippa (US) par sondage sur internet : « Dans quel secteur d’activité aimeriez-vous travailler? » 200 000 réponses sur 53 pays – Résultats identiques dans les 53 pays

Les hommes sont plus intéressés par des domaines orientés vers la compréhension du monde (ingénierie, mécanique…), les femmes par le contact auprès des personnes.

Si la culture avait une grande importance dans les centres d’intérêt de la personne, les résultats auraient été différents selon les pays.

2-      Des différences de comportement innées entre les garçons et les filles

  • A partir de 9 mois, les garçons vont chercher préférentiellement sur un tapis les jeux à caractère masculin (balle, voiture = jeux en mouvement), les filles les jeux à caractère féminin (poupées, dinette…= jeux statiques)  (Etude du Pr Tron Diseth de l’Hôpital naturel d’Oslo)
  • Dès le 1er jour de vie, les garçons passent plus de temps à regarder un objet mécanique qui leur est présenté ; les filles les visages qui leur sont présentés (Etude du Dr Simon Baron-Cohen, psychiatre anglais à l’université de la Trinité à Cambridge).
  • Beaucoup de différences entre les centres d’intérêt des hommes et des femmes sont liées au niveau de l’hormone Testostérone, 2 fois plus élevé chez le garçon que chez la fille, qui influe sur le développement du cerveau. En particulier, la plus forte production de testostérone chez les garçons induit un niveau de langage (enfant) et un développement social moins important, ainsi que moins d’empathie, mais par contre plus d’intérêt pour les structures, pour essayer de comprendre comment fonctionnent les objets (Etude du Pr Tron Diseth à partir de mesure de taux de testostérone sur des personnes depuis leur vie in utero jusqu’à 18 ans)

A la question du journaliste: « Comment pouvez-vous dire qu’il n’y a pas de différences innées dans les sentiments, les centres d’intérêt ? »

Le chercheur norvégien sur le genre répond : « Mon hypothèse de départ est qu’il n’y en a pas. La science n’en a pas montré » […] « Cette étude [du Pr Diseth] est de niveau médiocre ».

En France, presque 2 000 chercheurs font des études sur les questions du genre.

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Les objectifs du Gender

Indifférencier les individus, pour atteindre l’égalité (absolue)

Se libérer des contraintes de la nature

Etre ce que l’on veut: chacun est libre de construire sa propre identité, modifiable à tout moment

Pour détruire la famille biologique,

et libérer la société et les femmes de l’hétérosexualité, fabriquée par les hommes pour exercer une domination.

« La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes »
(Roselyne Bachelot, janv 2013)

 

Une présentation de l’Education Nationale affirme ainsi (page 9) que la famille et l’école ont été créées pour maintenir les différences entre l’homme et la femme.

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La société du genre

Société basée sur les orientations sexuelles,
qui deviennent le fondement du droit et de l’égalité,

où le « modèle hétérosexuel »  et la famille biologique sont définitivement détruits,

où la femme est enfin libérée de la maternité, considérée comme un handicap et une injustice,

où la femme est un homme comme les autres.

 

Caractéristiques de la société du genre

Toutes les orientations sexuelles sont comparables

Toutes les orientations sexuelles (hétéro, homo, bi, trans, etc.) sont comparables. C’est indifférent que l’on adopte l’une ou l’autre.

« S’agissant d’homosexualité, il s’agit d’apprendre à toutes et tous qu’il existe différentes orientations sexuelles sans hiérarchie de valeur. » (N. Vallaud-Belkacem, présentation aux députés membres de la commission des affaires culturelles et de l’éducation le programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre, 28 nov. 2012).

Le mariage et l’adoption pour tous

Il n’y a pas de complémentarité dans l’éducation et la transmission : un enfant peut être éduqué indifféremment par un homme et une femme, 2 hommes, 2 femmes etc, puisqu’il n’y a pas de différences entre l’homme et la femme. Il faut déconstruire l’idée de complémentarité dans la société car elle est sexiste: on va vers la société de l’égalité des genres et non des personnes définies par leur identité sexuée (avant la loi Taubira, le mariage était déjà pour tous car nous étions dans un monde d’hommes et de femmes : tout homme pouvait se marier avec une femme et vice-versa. Avec la loi, nous sommes entrés dans la société du genre, composée d’« orientations sexuelles », en l’occurrence pour la loi Taubira de personnes hétérosexuelles et de personnes homosexuelles. D’où l’égalité exigée entre elles).

Procréation médicalement assistée (PMA) ou bébés éprouvette pour tous

Au nom de l’égalité des couples mariés, hétérosexuels et homosexuels, la PMA est ouverte à tous les couples, y compris les couples hétérosexuels fertiles, ce qui ouvre la porte à l’unique satisfaction du désir des adultes au détriment de l’enfant, qui devient un dû (choix des embryons).

Gestation pour autrui (GPA) ou droit aux mères porteuses pour tous

Au nom du même principe d’égalité des couples, il faut permettre à des femmes de porter « l’enfant pour autrui » afin que les couples d’hommes puissent avoir un enfant. Tous les couples ont droit à la GPA. La femme (aisée, car pouvant financer) est ainsi libérée des contraintes de la maternité.

La femme est un homme comme les autres (voir nouveaux stéréotypes de la femme).

L’école devient lieu d’éducation de l’Etat et non plus d’instruction

L’Ecole devient un lieu d’éducation au détriment des parents dont c’est le premier rôle. Les parents ne deviennent plus que de simples responsables légaux de leur enfant.

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Les conséquences du Gender sur les enfants

Difficulté à trouver son identité propre:

– Rendre la réalité confuse, dissocier la dimension physique (innée) de la dimension comportementale (acquise) va déstabiliser profondément les plus jeunes

–  L’enfant ne peut définir son identité sexuelle qu’en harmonisant le donné naturel avec son entourage sexué: un père et une mère

– Laisser un enfant se  « construire » lui-même l’abandonne à une grande solitude et l’amène au désespoir de ne pas comprendre ce qu’il est

Egocentrisme, immaturité affective, a-socialisation, angoisse provoquant l’agressivité et la violence

Forte augmentation des troubles psychologiques

En Suède, 22% des jeunes de 16 à 18 ans présentent des troubles psychologiques, jusqu’à 30% chez les jeunes filles (voir rapport de l’OCDE, page 41). La Suède diffuse l’idéologie du genre depuis 30 ans.

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Les penseurs et les lobbies du genre

Alfred KINSEY : Fondateur du Kinsey Institute en 1947, Alfred KINSEY est l’un des premiers à parler de différenciation entre le sexe biologique et le « sexe social ».

Pour prouver ce qu’il avance, Alfred KINSEY mènera des expériences contestées sur des enfants. Un journaliste Ecossais, Tim TATE (ayant travaillé pour l’UNESCO et Amnesty International) a été le premier à mettre en lumière les liens entre le Professeur KINSEY et la pédophilie.

John MONEY : Psychologue et sexologue néo-zélandais, disciple d’Alfred KINSEY, il sera le premier à utiliser le terme de Genre.

Pour prouver son « intuition » qui veut que le Genre soit la conduite sexuelle que l’on choisira d’habiter, hors de notre réalité corporelle, le professeur MONEY mènera une expérience sur un garçon, jumeau d’un autre garçon, dont le sexe a été détruit par une circoncision ratée. Avec l’accord de ses parents, qu’il a persuadés que leur enfant serait plus heureux en fille, il l’a « transformé » en fille, par une intervention chirurgicale et un traitement hormonal. Le garçon transformé en fille ne s’est jamais senti fille et a éprouvé des tendances suicidaires à l’adolescence. Ses parents ont dû lui dire la vérité. David redeviendra un homme, en arrêtant son traitement hormonal puis plus tard en se faisant opérer.

Les deux jumeaux prouveront que John MONEY a menti sur les résultats de ses expérimentations, qui n’ont prouvé en aucun cas sa conception du Genre. Plus tard, ils se sont suicidés tous les deux. David a laissé un livre pour que son histoire soit connue et le mensonge de John Money révélé.

John MONEY écrivait également dans la revue PAIDIKA, revue hollandaise pédophile.

Les lobbies féministes du genre

Les lobbies féministes du genre, dans la deuxième moitié du XXème siècle, prétendent répondre à la question de l’égalité entre l’homme et la femme en supprimant toutes les différences entre eux, au motif qu’elles ne seraient que des constructions sociales. Pour elles, c’est la société qui aurait construit le comportement féminin et masculin, en vue de maintenir la femme dans un état de dépendance et d’oppression par l’homme. Les féministes du genre ne peuvent pas concilier différences et égalité. Elles pensent que l’égalité ne sera réelle entre l’homme et la femme que lorsque les rôles de l’homme et de la femme seront indifférenciés dans tous les domaines de la société : la famille, le travail, la politique…* Pour elles, l’homme et la femme doivent être totalement indifférenciés et interchangeables. Finalement, elles veulent être un homme comme les autres. La personne se définit alors uniquement par son orientation sexuelle.

Elles veulent libérer la femme de leur corps, qu’elles considèrent comme une contrainte, pour lui permettre d’être ce qu’elle veut, ce qui est pour elles la vraie liberté. Pour sortir de la soi-disant contrainte de la maternité, elles revendiquent des modes de reproduction artificiel (utérus artificiel) ou par mères porteuses.

Les vraies féministes défendent la femme dans toutes ses spécificités. Les féministes du genre considèrent elles que les spécificités de la femme sont un handicap par rapport à l’homme. Elles se positionnent toujours par rapport à l’homme, qu’elles veulent égaler.

*source « Le genre en questions » d’E. Montfort
 

Le lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels)

L’idéologie du genre est au fondement des revendications du lobby LGBT. Il nie également la différence entre l’homme et la femme et considère que la personne se définit par son orientation sexuelle. Il réclame ainsi les mêmes droits pour les personnes homosexuelles que pour les personnes hétérosexuelles (mariage, adoption, PMA, GPA), des droits pour les personnes transsexuelles.

Voici  un extrait du communiqué de l’inter-LGBT à la veille de la manifestation du 2 février 2014:

« Parce que les droits des femmes sont intrinsèquement liés aux droits des personnes LGBT, l’inter-LGBT rappelle la nécessaire convergence des luttes féministes et LGBT. Le système hétéropatriarcal, fondé sur la hiérarchisation des sexes et des sexualités, institue la domination des hommes sur les femmes et du masculin sur le féminin, entraînant des violences envers les femmes ainsi qu’envers toute personne perçue comme sortant de la norme. Aussi, à la veille d’une manifestation européenne réactionnaire prônant la régression des droits humains (contre l’IVG, la PMA, le mariage et l’adoption par les couples de même sexe), l’union de tou-te-s les progressistes est désormais plus qu’urgente et capitale. »

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