Langage de la  réalité

Langage du gender

Tout se vaut. Chacun sa vérité. Le corps  n’est porteur d’aucune vérité.

Cette égalité est respectueuse des spécificités  de chacun. L’égalité suppose que les situations soient comparables.

L’homme et la femme sont identiques. Leurs  différences ne sont qu’une construction sociale et culturelle.

La suppression des différences entre le masculin et le féminin est en réalité une destruction  puisque le masculin et le féminin sont issus de la nature (corps, inné) et de   la culture (acquis).

Le masculin et le   féminin ne sont qu’une construction sociale et culturelle, qu’il faut donc  déconstruire pour arriver à l’égalité absolue.

Père-mère-enfant(s)

La famille permet à l’enfant de se forger une conception de sa venue au monde, de répondre à la question du pourquoi ? d’imaginer quels désirs ont porté l’enfantement.

Toutes les formes de composition décidée  autour d’un enfant : 1 père, 1 mère, 1 père et une mère, 2 pères, 2 mères, 3, 4 personnes,   etc.

L’homme et la femme sont complémentaires dans leurs comportements, leurs aspirations, leurs aptitudes, leurs rôles,  dans tous les domaines de la société (couple, famille, métiers, vie en   société). Ils se complètent mutuellement.

Idée préconçue et déformée enfermant l’autre sexe dans des schémas limités, voire dégradants.

Il faut déconstruire les stéréotypes  (supposés uniquement construits) pour que les hommes et les femmes soient « égaux » (identiques).

L’homme et la femme que le mariage unit.

Un père (homme) et une mère (femme), ce n’est pas la même chose. L’enfant a besoin des deux pour se construire   harmonieusement et trouver son autonomie.

Pas de différences entre un père et une mère. C’est la volonté qui fait qu’on est parent, et la volonté n’a pas de  sexe.

Rôle éducatif d’adultes qui ne sont pas obligatoirement les parents de l’enfant.

Don de la vie par l’union d’un homme et d’une femme

Moyens pour libérer la femme de la servitude de la reproduction (contraception, avortement, PMA, GPA). La femme peut enfin   prendre en main son destin. On ne parle plus de procréation (« créer   avec »), concept trop adossé à l’illusion d’un Dieu créateur, mais de reproduction, terme jusqu’alors réservé aux animaux et aux objets.

Ni l’homme seul ni la femme seule ne dit ce  qu’est l’humanité, mais les deux ensemble réunis. Leur union est source de vie.

Toutes les sexualités se valent. La   sexualité entre un homme et une femme (appelée hétérosexualité, approche descriptive externe, et non union homme-femme, approche intérieure) est une norme socialement construite par les hommes pour dominer les femmes. La société doit marcher résolument vers l’anéantissement de toute distinction fondée sur le sexe.

L’orientation sexuelle, dont l’homosexualité  mais également les autres formes de sexualité (transsexualité, bisexualité, asexualité…), devient fondatrice de droit et facteur de différenciation, en lieu et place de l’approche sexuée homme/femme.

Les différences entre l’homme et la femme  sont une richesse pour l’homme, la femme, l’enfant et toute la société.

Répartition égale des rôles entre les hommes  et les femmes dans tous les domaines de la société (tâches de la vie de   famille, vie professionnelle, politique) pour atteindre   l’égalité absolue, autrement dit l’identité entre l’homme et la femme

Fabrication de plusieurs embryons en laboratoire. Un ou plusieurs sont implantés dans l’utérus d’une femme. Les   autres sont congelés.C’est un acte médical dans la mesure où il  permet aujourd’hui à un couple homme-femme stérile de retrouver ce qui est normalement   dans sa nature et dont il est privé : donner la vie.

L’acronyme atténue la violence du procédé et lui donne une apparence de scientificité, empreinte d’un indubitable sérieux.  La dernière initiale du sigle évoque même l’idée d’assistance, de bienfait   accordé à autrui. La P.M.A. est une étape de la déconstruction de  l’hétérosexualité. Elle deviendra à terme le moyen  pour la femme d’envisager la procréation et  par extension la vie de famille sans l’homme. Ce ne sera plus un acte   médical, puisqu’il ira au-delà de la nature.

Femme qui loue son ventre pour porter un  enfant pendant 9 mois pour une autre personne, dans le cadre d’une convention de maternité pour autrui. L’enfant est acheté.

Le « pour autrui » fait penser que   l’acte est bon car en vue de donner un enfant à des personnes qui le  souhaitent (couple stérile, 2 hommes, 2 femmes…). Aucun lien entre l’enfant   et la femme qui le porte. Ce n’est pas en accouchant qu’on devient mère.