Un jour viendra où l’on fera le compte des ravages de l’idéologie du genre

Dans cette chronique, Michel Onfray revient sur les racines de la théorie du genre avec les « délires » de John Money et dénonce les ravages de cette idéologie, déconnectée de la réalité.

Extrait: « le réel a montré en 2002 que la théorie du genre était une fiction dangereuse, mais  quantité de gens souscrivent à cette nouvelle déraison – dont Najat Vallaud-Belkacem. Un jour viendra où l’on fera le compte des ravages effectués par cette sidérante idéologie post-moderne. Quand ? Et après quels considérables dommages ? »